En première partie, on a pu découvrir l’excellent trio (une batterie et deux guitares) Power Solo. Un groupe de rockabilly déjanté et surtout une sacrée bande de malades. Le chanteur a une tête de psychopathe, en fait, c’est le sosie de mon pote Steph qui est juste un peu moins tatoué que lui.
Ensuite, pour leur retour sur une scène parisienne, les BellRays ont plutôt surpris. Certes, le groupe est toujours aussi efficace. Le batteur Craig Waters a été exceptionnel toute la soirée, Robert Vennum, désormais guitariste, s’en est sorti avec les honneurs quant à Lisa, c’est une véritable prêcheuse soul au milieu d’un torrent de guitare. Elle n’a pas peur d’aller traverser la fosse, transformée en ring de boxe, les bras en l’air, le tambourin à la main. Le petit nouveau, le bassiste Billy Mohler est très expansif sur scène et rebondit dans tous les coins et surtout est à l’aise dans tous les styles, ce qui est la condition sine qua none pour jouer avec ce groupe. Si depuis quelque temps, les BellRays ont (un peu) levé le pied en studio, sur scène ils restent un groupe de rock n’roll sauvage et plutôt extrême. Si vous vous apprêtez à les découvrir en concert, les boules Quiès sont obligatoires (conseil d’ami), ils jouent très très fort.
Maintenant, la surprise est venue de la tracklisting qui a été joué dimanche soir, essentiellement basée sur le dernier album en date (« Infection », « Blue against the sky », « Footprints on the water » toutes magnifiques) avec quelques inédits. Il semble en effet que le guitariste démissionnaire Tony Fate soit parti en emportant ses chansons avec lui. Où sont passées les « Zero PM », « Have a little faith in me », « They glued your head on upside down » et surtout « Tell the lie » (une des meilleures chansons jamais enregistrée par les BellRays) qui ont tant de fois fait le bonheur de nos oreilles en live ? Savoir que ces trésors resteront peut être à jamais enfermés me brise le cœur, vous n’avez même pas idée… Des anciens BellRays, seules subsistent « Too many houses in here » et « Blues for Godzilla ». Dans le même ordre d’idée, le set a été expédié en une heure chrono, les BellRays ne nous avait pas habitués à une telle célérité. Enfin, on ne va pas faire la fine bouche, ils ont joué en rappel « Hard, Sweet & Sticky » qui, hélas, ne figure pas sur l’album du même nom, une petite bombe soul/funk qui groove comme pas possible, la voix de Lisa fait des merveilles sur ce titre, petite lueur d’espoir au milieu d’un ciel brusquement assombri…
Ensuite, pour leur retour sur une scène parisienne, les BellRays ont plutôt surpris. Certes, le groupe est toujours aussi efficace. Le batteur Craig Waters a été exceptionnel toute la soirée, Robert Vennum, désormais guitariste, s’en est sorti avec les honneurs quant à Lisa, c’est une véritable prêcheuse soul au milieu d’un torrent de guitare. Elle n’a pas peur d’aller traverser la fosse, transformée en ring de boxe, les bras en l’air, le tambourin à la main. Le petit nouveau, le bassiste Billy Mohler est très expansif sur scène et rebondit dans tous les coins et surtout est à l’aise dans tous les styles, ce qui est la condition sine qua none pour jouer avec ce groupe. Si depuis quelque temps, les BellRays ont (un peu) levé le pied en studio, sur scène ils restent un groupe de rock n’roll sauvage et plutôt extrême. Si vous vous apprêtez à les découvrir en concert, les boules Quiès sont obligatoires (conseil d’ami), ils jouent très très fort.
Maintenant, la surprise est venue de la tracklisting qui a été joué dimanche soir, essentiellement basée sur le dernier album en date (« Infection », « Blue against the sky », « Footprints on the water » toutes magnifiques) avec quelques inédits. Il semble en effet que le guitariste démissionnaire Tony Fate soit parti en emportant ses chansons avec lui. Où sont passées les « Zero PM », « Have a little faith in me », « They glued your head on upside down » et surtout « Tell the lie » (une des meilleures chansons jamais enregistrée par les BellRays) qui ont tant de fois fait le bonheur de nos oreilles en live ? Savoir que ces trésors resteront peut être à jamais enfermés me brise le cœur, vous n’avez même pas idée… Des anciens BellRays, seules subsistent « Too many houses in here » et « Blues for Godzilla ». Dans le même ordre d’idée, le set a été expédié en une heure chrono, les BellRays ne nous avait pas habitués à une telle célérité. Enfin, on ne va pas faire la fine bouche, ils ont joué en rappel « Hard, Sweet & Sticky » qui, hélas, ne figure pas sur l’album du même nom, une petite bombe soul/funk qui groove comme pas possible, la voix de Lisa fait des merveilles sur ce titre, petite lueur d’espoir au milieu d’un ciel brusquement assombri…