C’est avec émotion et tristesse que l’on a appris ces derniers jours les disparitions de Rick Wright et d’Earl Palmer.
Rick Wright, né le 28 juillet 1943, fût le clavier de Pink Floyd. Si son jeu eu une importance prépondérante dans le « son Pink Floyd », Wright est, avec le batteur Nick Mason, le membre le plus effacé d’un groupe dominé par la lutte des égos entre le guitariste David Gilmour et le bassiste Roger Waters et hanté par le fantôme de Syd Barrett. Viré à plusieurs reprises du flamand rose, il est également l’auteur de deux albums solos (Wet Dreams, 1978 et Broken China, 1996).
Rick Wright, né le 28 juillet 1943, fût le clavier de Pink Floyd. Si son jeu eu une importance prépondérante dans le « son Pink Floyd », Wright est, avec le batteur Nick Mason, le membre le plus effacé d’un groupe dominé par la lutte des égos entre le guitariste David Gilmour et le bassiste Roger Waters et hanté par le fantôme de Syd Barrett. Viré à plusieurs reprises du flamand rose, il est également l’auteur de deux albums solos (Wet Dreams, 1978 et Broken China, 1996).
Si il est inconnu du grand public, le batteur Earl Palmer, est un héros oublié du rock n’roll. Natif de la Nouvelle-Orléans, Palmer maîtrisait à la perfection cette petite syncope typique du son de la Crescent city, typiquement créole. Palmer, né le 25 octobre 1924, a également accompagné des pointures comme Eddie Cochran, Frank Sinatra, Ray Charles, BB King… Bien qu’il n’ai jamais enregistré sous son nom propre une compilation, « Backbeat », regroupant ses meilleures séances est sortie en 1999. Pour consulter un hommage au grand Earl Palmer cliquez ici.
Earl Palmer : "Tiptina"
Earl Palmer : "Walkin'"