Paul Galiana a tout de l’artisan, honnête et travailleur, dont les chansons, aux atours classiques, accompagnent discrètement le quotidien. Paul lance ses chansons en l’air, modestement, avec l’espoir fou que lesdites chansons trouveront une oreille bienveillante pour les accueillir. Après avoir chanté le monde, ses vicissitudes et la vie des autres avec beaucoup d’empathie, Paul s’est penché sur son existence et son passé. Ses rêves d’enfant et de ballons ronds (« Genghini Blues ») ou son ascendance (« Ta Place ») pour, en élargissant la focale, atteindre l’universalisme. La démarche tient en trois mots, universels : « De la vie ». Avec toute l’humanité qui le caractérise, Paul nous la raconte cette vie quotidienne et la ville qui l’accompagne à l’image de l’illustration de la pochette. Pour l’occasion Paul à fait rugir les guitares, l’album s’ouvre sur « De la vie » ravageur, guitares qui savent aussi se faire câlines, acoustique ou slidée, entre pop, rock, folk et blues. Enregistré en power trio (avec Guillaume Glain à la batterie et Alain Gibert à la basse) et quelques invités triés sur le volet (Clément Verzi et Lembe Lokk), ce nouvel album fait remonter les souvenirs des grandes heures du rock chanté en français, avec poésie, modestie et amour.
En concert à la Mécanique Ondulatoire le 6 février 2025.
https://www.facebook.com/paulgalianamusique
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