Sur la photo ornant l'intérieur de l'album, le jeune impétrant pose au côté d'un cabriolet du siècle dernier, mais volant, appelons-cela le syndrome DeLorean. Ainsi va la musique d'Aaron Lee Tasjan, l’œil posé dans le rétro mais allant fermement de l'avant. Inutile dès lors de citer les références d'untel et untel, nous préférons souligner le caractère pop intemporel de ce sublime album, ni d'hier, ni de demain, mais bien d'aujourd'hui. Une sorte de classique immédiat qui a le don de faire planer l'auditeur sur son petit nuage mélodique où les synthés et les guitares acoustiques arpégées avec un feeling imparable cohabitent harmonieusement, faisant fi des modes, des époques, des tendances (la merveilleuse « Another Lonely Day »). Un album confortable donc, au sein duquel on se sent immédiatement à l'aise, comme de retrouver un vieil ami sauf qu'à ce jour nous n'avions jamais entendu parler d'Aaron Lee Tasjan. Et on se demande pourquoi d'ailleurs ! Mais qu'importe car on reste persuadé que l'on n'a pas fini d'entendre parler de lui. Tout est finalement parfaitement résumé dans le titre : Tasjan ! Tasjan ! Tasjan ! A découvrir toutes affaires cessantes.
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