Souvent l'Australie
nous envoie des nouvelles prenant la forme d'un nouveau groupe de
rock surpuissant, sous influence 70s tentant d'égaler AC/DC modèle
esthétique déclaré du continent « down under ». The
Jezabels quant à eux, font tache dans la débauche de décibels
locales avec son amour déclaré de l'électro. Des années 1980 il
en est souvent question sur ce nouvel album (cf. « Unnatural »),
de Kate Bush également, influence palpable dans le falsetto sexy,
aigu et ravageur de la chanteuse Hayley Mary (cf. « Smile »).
Et pourtant, considérer le quatuor Aussie comme un énième (et
vain) revival des années 1980 serait terriblement réducteur.
Parsemant sa musique d'effets contemporains, lorgnant parfois vers le
côté obscur (cf. « A message from my Mothers passed »)
The Jezabels livrent un album puissant et animé d'un véritable
énergie rock (« My love is my disease ») via une section
rythmique en constant survoltage ; démarche qui n'est pas sans
rappeler The Do. Intéressant.
https://twitter.com/thejezabelssamedi 9 avril 2016
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