mardi 25 août 2020

Seven Ages : "Machine Love"

 

En attendant leur premier album, dont l'enregistrement est prévu pour l'année prochaine, les Parisiens de Seven Ages nous envoient ce clip au son rock pêchu, groove et sexy en forme de carte de visite.

En concert le 18/09 à la Dame de Canton

https://www.facebook.com/sevenages/

https://www.damedecanton.com/event/seven-ages/

vendredi 21 août 2020

Phoenix : "Identical"



Les Versaillais sont de retour avec un nouveau single qui est aussi la bande originale d'"On the Rocks",  nouveau film de Sofia Coppola.




jeudi 20 août 2020

Célia Millat : « L'astéroïde »



Il flotte un air particulier sur ce premier EP de la chanteuse. Quelque part entre joie et peine, Célia chante une manière de mélancolie heureuse, une sorte de joie de posséder des souvenirs chers, où l'acoustique du piano ou de la guitare se pare, avec bonheur, de subtiles touches synthétique ou électronique, bercé par des effluves de la chanson française des années 1970 et 1980 dans ce qu'elles ont connu de plus digne. L'EP s'écoute comme un souvenir heureux, lumineux, ensoleillé, comme une plage dont on se souvient à l'heure de la rentrée. Charmant. 
SORTIE LE 10 SEPTEMBRE

mardi 18 août 2020

Dead Myth 


Alors que le premier titre débute, mené plein tubes par une batterie galvanisante, démentielle et véloce, l'auditeur comprend aussitôt qu'il est tombé dans un sacré guet-apens dès qu'il a jeté une oreille sur cet EP inaugural. Littéralement pris au piège des ces guitares tourbillonnant des motifs répétitifs et hypnotiques, les pédales d'effets enfoncées à fond, en plein délire. Navigant en eaux troubles et psychédéliques, Dead Myth, renouvelle le genre d'attributs cold wave, post punk et shoegaze (on pense parfois à Jesus & Mary Chain) entamant un grand ménage dans le garage, qu'ils contribuent à dépoussiérer. 

https://leceperecords.bandcamp.com/album/1
https://www.facebook.com/Deadmyth666/




lundi 17 août 2020

Fontanarosa



Adepte forcené du DIY, le Lyonnais Paul Verwaerde a enregistré, dans sa chambre et en solo, les 6 plages inaugurales qui composent l'EP de Fontanarosa. Songwriter inspiré, ce dernier est également un musicien accompli au point de donner l'illusion d'un véritable groupe. En trouvant le subtil point d'équilibre entre l'urgence garage/punk (« In it ») et le savoir-faire mélodique (« Would you need me for » ; « In between »), Paul touche au Graal du rock'n'roll, suffisamment intemporel pour évoquer aussi bien un vieil enregistrement cradingue des seventies que les années 1990 et au-delà (« Eyes on the floor »). L'EP file pleine balle, les titres sont courts, trois minutes maximum, et incarnent une sorte de shoot rock'n'roll ultime et létal (« Lights Off ») ; disponible en cassette (évidemment) et en digital (mais c'est nettement moins cool). 

https://skrecords.bandcamp.com/album/fontanarosa


dimanche 16 août 2020

The Jayhawks : « Xoxo »



En trente cinq années de carrière, ont aurait pu légitimement penser que Gary Louris et sa bande avaient fait le tour de la question. Fort heureusement, il n'en est rien et ce nouvel album nous en apporte une nouvelle preuve. Nous avions laissé le groupe avec un magnifique effort « Paging Mr Proust » conciliant folk et noise façon Sonic Youth. Par comparaison ce nouvel album semble bien classique et sonne comme un retour à la source des années 1960 et 1970 pour le groupe entre folk et country alternative. Ce qui peu sembler à une régression n'en est pas une, en effet, pour une fois, le leader Gary Louris a baissé la garde et ouvert la porte aux compositions, et au chant, de ses comparses trouvant ainsi le matériau pour expérimenter, encore et toujours, tout en restant sur le terrain classique que l'on attend d'eux. Et le groupe de nous étonner encore avec ces assauts garage électriques (« Dog Town Days ») comme acoustiques (« Society Pages ») assez peu habituels contrastant avec les ballades à vocation psychédélique (« Homecoming ») et titres plus conventionnels au piano (« Ruby » ; « Across my field ») ou à la guitare folk (« Illuminate» ; « Bitter Pill »). Un éventail assez large, certes classique mais d'une fraîcheur et d'une solidité à toute épreuve, couvrant ce vaste territoire que l'on appelle Americana et dont ils restent un des plus digne représentants à ce jour. Recommandé. 

https://www.jayhawksofficial.com/
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vendredi 14 août 2020

Volage : « Strangers »



Ce nouvel EP, prélude au troisième album du groupe, se constitue d'une suite, « Strangers », déclinée en trois parties : « The Weakness, The Confusion, The Aftermath », trois chansons qui s'enchaînent les unes aux autres complétées par deux autres titres : « Horses » et « Home Therapy ». Le tout forme ce nouvel EP et un bien séduisant apéritif pour le groupe qui renoue avec ses obsessions des années 60 et 70, la sunshine pop, les rocks psychédélique et garage. Un mélange entre guitares tranchantes (sans violence excessive toutefois) et nappes d'orgue planant dominé par un chant mélodique. Un grand huit pour l'auditeur qui voit toutes les couleurs de l'arc-en-ciel à l'écoute. Toujours un plaisir de retrouver Volage, groupe vétéran du label Howlin'Banana, mais ce nouvel album s'annonce sous les meilleurs auspices ! 

https://www.facebook.com/volageband/

jeudi 13 août 2020

Thomas Howard Memorial : « Bonaventura »





En congés, hélas, définitif du Craftmen Club, Yann Ollivier se concentre désormais sur son propre groupe, débuté comme un simple projet parallèle. De quoi faire franchir une nouvelle étape à la formation qui n'a désormais plus rien du duo acoustique des débuts. Car ce deuxième album procède d'une véritable mise en danger pour le quintet, entré en studio sans avoir écrit la moindre note au préalable. Et le disque que nous écoutons aujourd'hui ressemble au résultat d'un marathon créatif, écrit, composé et enregistré en un mois soit un laps de temps relativement court mais qui a dû sembler long pour les musiciens. Et alors que résonne les nappes dark et angoissantes de « Tunnel » qui ouvre les débats, l'auditeur a véritablement l'impression de foncer tête baissée dans ledit tunnel. Car il ne fait guère de doute qu'avec ce nouveau disque, Thomas Howard Memorial ouvre une brèche dans le petit monde du rock français. Calme et apaisé en apparence, mais en vérité mû par une angoisse sourde et lancinante, ce deuxième disque évolue en eaux troubles croisant les influences progressives des années 1970 (cf. le mellotron, Pink Floyd n'est jamais bien loin), à un climat post-rock plus contemporain. Sans oublier une certaine audace mélodique évoquant la musique de film des seventies (cf. « The Way »). Un patchwork d'influences diverses qui est probablement le résultat de l'écriture collective qui, pour le coup, a fonctionné à plein. Une réussite pour le groupe, orné, ce qui ne gâche rien, d'un packaging original faisant de ce magnifique album un objet à part. Recommandé. 

https://www.facebook.com/thomashowardmemorial/



mercredi 12 août 2020

Gwënn : « A question of time »




Le titre ne manquera pas de rappeler de nombreux souvenirs aux fans de Depeche Mode. Pourtant, de reprises, il n'est nullement question sur le premier EP de cet artiste breton qui a néanmoins gardé de l'objet de ses émois adolescents une habileté à marier l'électricité à l'électronique. Ancrée dans un espace-temps à la lisière des années 1980 et 1990, la musique de Gwënn alterne déflagration électrique et envolées électroniques sans négliger non plus un sentiment d'intimité, une bulle au milieu du chaos sonore. De ce grand bain de musique lui faisant office d'influences Gwënn a su créer un son, une ambiance, certes marquée, mais bien à lui. 

https://www.facebook.com/gwennfb
https://gwennofficiel.bandcamp.com/releases

lundi 10 août 2020

Tami Neilson : « Sassafrass ! »





Canadienne de naissance mais installée en Nouvelle-Zélande, la chanteuse Tami Neilson possède un grain de voix puissant, fort expressif, une qualité fort à propos sur la scène soul où les disparitions tragiques, d'Amy Winehouse ou de Sharon Jones, laissent de nombreux fans orphelins, petits cœurs éplorés qui trouveront dans cet album largement de quoi se consoler. Cet album, justement, mérite que l'on s'y attarde ! D'aucuns, et à juste titre, peuvent regretter un certain conformisme de la scène soul actuelle, surtout soucieuse de coller au plus près d'une esthétique, indépassable, hérité des années 1960. Un reproche, assez commun, que Tami se charge de souffler d'un râle puissant de sa voix rauque. Sans perdre de vue l'esthétique vintage, la musique de Tami ressemble à un shaker géant dans lequel la chanteuse a secoué ses vinyles préférés, de la soul (la langoureuse « One thought of you ») au rockabilly ("Kitty Cat"), un soupçon de country (« A Woman's pain » ; « Somking Gun ») et pointe de tropicalisme latin pour l'aspect festif (« Bananas ») en sus. Un mélange un peu dingue mais frais et énergisant ! Superbe ! 



dimanche 9 août 2020

Pierpaolo Ranieri : « I am a peacock »


Lorsqu'il se lance dans l'aventure de l'album solo, le bassiste italien Pierpaolo Ranieri ne fait pas qu'enregistrer un album. Non, avec ce disque, le musicien change totalement la perception de son instrument fétiche, la basse, lui confiant un rôle lead plutôt dévolu à la guitare habituellement (un instrument totalement absent du disque). Une expérience déjà tentée par les Anglais de Royal Blood, dans un genre saturé plus proche du garage. Premier constat l'album est éminemment rythmique, tantôt groovy (« My Instinct ») tant robotique sur un mode dark (« Who is god »). Une approche transversale transcende totalement les influences premières heavy/psyché, pour tutoyer des univers aussi divers que la musique de film (« The Future is »), le jazz fusion électrique, le progressif (« Days of the blackbird ») voire l'électronica (« The Kingmaker » ; "Passage"). Il va sans dire que les neuf plages de cet album sont autant de démonstration de virtuosité de l'Italien. Mais une virtuosité canalisée, jamais superfétatoire, et au service de compositions complexes, labyrinthiques, à la limite de l'expérimentation, dont l'écoute se révèle immersive. Foisonnant et passionnant. 

https://www.facebook.com/PierpaoloRanieriBass/



samedi 8 août 2020

Steve Earle and The Dukes : « Ghosts of West Virginia »

 


Steve Earle retrouve ses Dukes, amputés du fidèle bassiste Kelley Looney, résident français de longue date et, hélas, décédé l'an dernier. Comme toujours chez Steve Earle, la musique est synonyme d'engagement et le musicien a trouvé dans la catastrophe, datant de 2010, dans la mine l'Upper Big Branch (Appalache) une nouvelle source d'inspiration. Car le cœur de Earle bat pour ses pairs, les petites mains, les besogneux qui s'appliquent à faire le meilleur travail, le plus honnêtement possible (cf. la liste de noms égrainés pendant la coda de « It's about blood »), la façon dont lui-même se définit certainement en tant que musicien. Un fond prenant, puissant qui oriente la musique vers l'acoustique, country/folk (les embardées hard-rock sont définitivement oubliées) un genre qu'il aborde suivant un angle d'attaque rêche (« It's about blood » ; « Black lung » ; l'excellent « Fastest man alive ») mais pas dénué d'émotion (« Time is never on our side » ; « If I could see your face again » avec Eleanor Whitmore). L'album a été mixé en mono et cela s'entend ! Le ton est ainsi donné dès la première piste « Heaven ain't goin' nowhere » titre à cappella, proche du gospel, cérémonieux et hiératique : l'heure est grave et le musicien s'en alarme 10 plages durant, le temps de cet album sec et concis (à peine trente minutes). Tout ceci, sans cette saloperie de virus, nous aurait donné de merveilleux concerts mais ce n'est que partie remise on l'espère. 

http://www.steveearle.com/
https://twitter.com/steveearle
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jeudi 6 août 2020

John Scofield : « Swallow Tales »


Merveilleux guitariste de jazz, John Scofield sort son nouvel album sur la mythique étiquette ECM, l'occasion rêvée pour retrouver deux acolytes, le bassiste Steve Swallow et le batteur Bill Stewart. Enregistré de manière particulière, « à l'ancienne » de l'aveu même des participants, l'album a été mis en boîte en une journée, dans un studio new-yorkais, au mois de mars 2019. Et ce qu'il donne à écouter va bien au-delà de la musique, c'est une histoire d'amitié, d'amour dans une certaine mesure, l'histoire d'une vie consacrée à la musique car, seuls des musiciens aussi liés et expérimentés peuvent produire un disque de cette qualité en une seule, unique et malheureuse, journée. Il plane ainsi un air très particulier sur cet album, une veine à la fois rétro, sans effets superfétatoires, ou le musicien revisite son passé (le titre d'ouverture « She was young » a été enregistré pour la première fois par le guitariste en 1979 sur son premier album) renouant avec une veine mélancolique, dans la lignée de ces immenses disques minimalistes que sont « Confidentiel » de Serge Gainsbourg ou « Strollin' » de Chet Baker. L'intégralité du répertoire de l'album est signé de la plume du bassiste, Steve Swallow (qui donne son nom au titre de l'album) et tout le disque irradie de ce lien intime entre les musiciens et le répertoire joué. A la fois bilan d'une carrière mais surtout, un marchepied vers l'avenir tant le jeu des musiciens déborde de swing, de fraîcheur, d'enthousiasme ! En huit pistes, ces derniers nous démontrent que le plaisir du jeu, de la création, reste la pierre angulaire indispensable à la réussite d'une session d'enregistrement. Un disque intime, minimaliste, baignant dans une ambiance nocturne au swing ouaté et élégant. Indispensable ! 

https://www.johnscofield.com/



mercredi 5 août 2020

Vorski : « Prophecies »


Ô toi, enfant du streaming, qui ne peut, hélas, concevoir la musique autrement que sous forme de liens ou de fichiers, la musique, cette chose fabuleuse, réduite à un vulgaire algorithme (autrement dit des maths, dans le fond un truc assez moche et déprimant) oui, toi, tu ne peut certainement pas ne serait-ce qu'imaginer notre bonheur : nous avons reçu une cassette audio ! Une cassette, obsolète objet, que nous-même, il y a une dizaine d'années de cela, considérions comme ringard et qui aujourd'hui nous comble d'aise ! Une cassette audio ! C'est l'unique format physique sur lequel sera distribué le nouvel effort (le doute nous ronge alors, est-il encore correct d'employer le mot « album » en l'espèce?) de Vorski, un musicien originaire de L'Est de la France. Et c'est plutôt judicieux tant la musique diffuse de fortes effluves des années 1980. Mais une précision s'impose ! Nous n'évoquerons point ici les hideuses années 1980 : spandex, jaune fluo et Top 50 ! Non, Vorski, c'est le double en négatif : froid, synthétique, monochromie noir et blanc, comme une vieille photo tramée dont les coins sont écornés. Et, alors que la bande se déroule (pour ta propre gouverne, c'est comme cela que fonctionne une K7) Vorski nous plonge dans un bain glacial (c'est plutôt bienvenu on crève de chaud ces jours-ci) la tête la première, le cerveau vrillé par le rythme robotique, hypnotique et répétitif, par l'écho des nappes synthétiques qui se prolonge à l'envi, avant de s'éteindre, non sans avoir au préalable expérimenté des changements de rythmes brutaux au son des boîtes à rythmes qui se déboîtent et se fracassent. On en est tourneboulés ! C'est beau. 

https://specific.bandcamp.com/album/prophecies
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mardi 4 août 2020

Rodolphe Burger : « Environs »



Le huitième album de l'ancien chanteur de Kat Onoma, une des voix les plus indispensables de la chanson française, part d'une vieille carte géographique, de la région de Colmar (celle d'où est originaire le chanteur), dont le nom des villes a été effacé par le passage inéluctable du temps. Chinée aux Puces de Clignancourt par Fred Poulet (musicien et réalisateur de son état) et offerte à son ami Rodolphe, le singulier objet a suffisamment intrigué le chanteur au point de lui inspirer un disque entier. Un album d'errance où le chant voyage de langues en langues (français, anglais et welche, le patois local) et au-dessus duquel plane le fantôme de Serge Gainsbourg (cf. le titre d'ouverture « Bleu Bac »). L'auditeur est quant à lui baladé par une musique nomade aux sons incertains, vaguant de l'acoustique chaleureuse à l'électronique cotonneuse, bercé par l'ambiance nocturne qui se dégage de cette remarquable collection de chansons, cohérente et hantée de bout en bout. Une musique nomade, voire mutante, mais qui se souvient parfaitement de sa genèse comme le prouve les reprises, chipées chez Sam Cooke (« Lost & Lookin »), Grant Lee Buffalo (« Fuzzy ») ou Can (« Mushroom »), et parfois traversée de violents éclairs, blues ou reggae, électriques (« Ba Ba Boom Time »). Enfin, comment ne pas être submergé par l'émotion alors que résonne la voix du regretté Christophe, capturée pour l'éternité dans « La Chambre », chère à Kat Onoma, qui clôt ce magnifique, envirant (du verbe envirer, tourner sur soi-même), album. 

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lundi 3 août 2020

New Favourite



La genèse du groupe est pour le moins insolite puisque cette dernière à eu lieu à 1 500 kilomètres de l’Hexagone, à Ostrava (République Tchèque), où Alex (chant, guitare) a rencontré, par pur hasard, Aurélien (batterie, chant) alors que les deux musiciens étaient en tournée avec leurs groupes respectifs. C'est une fois de retour en France que les choses sérieuses commencent ! Par sérieuses, comprendre en l’occurrence, lourdes tant le groupe, devenu trio avec l'addition de Pierre à la basse, sait y faire en matière de boucan et d'amplification saturée. Comme un écho du passé, la musique du groupe prend racine dans le hardcore entre chant étranglé et déflagration électrique. Mais, mettant de côté toute considération stylistique, le trio sait aussi être sensible aux mélodies et ménager ainsi de l'espace pour l'émotion, une respiration afin de mieux descendre l'échelle des watts. Le chant des possibles grand ouvert, le trio n'a pas peur de dévoiler ses aspirations classic rock voire pop avec, toujours, cette énergie à revendre incarnée par une batterie en équilibre, entre vélocité et martèlement. Point de chapelles par ici, donc, mais de nouveaux favoris pour (presque) tous. Accrocheur !

https://www.facebook.com/thisisyournewfavouriteband/

samedi 1 août 2020

Ciné Music Festival du 5 au 23 août 2020


Un été sans concert ni festival est certes bien triste, mais, voici peut-être la meilleure alternative pour voir quand même quelques concerts, cette année, au cinéma. Du 5 au 23 août, dans les cinémas des groupes CGR et Kinépolis on pourra revoir une sélection éclectique de quelques performances mythiques d'Amy Winehouse aux Eurockéennes de Belfort en 2007 à The Cure à Hyde Park (2016), du regretté Christophe à l'Olympia 2002 à "Imagine Lennon".

Infos et réservation :

https://www.cgrcinemas.fr/cine-music-festival/
https://kinepolis.fr/