Bad Pilöt nage-t-il
avec les requins ? La question reste en suspens, en revanche, il
est certain que le groupe navigue en eaux troubles. Une zone grise,
potentiellement dangereuse, où le rock rencontre l'électro, où les
guitares croisent le fer avec les nappes synthétiques, la douceur de
l'une compensant l’agressivité de l'autre et inversement.
L'électricité et l'électronique, deux genres à priori
antinomiques dont l'union est scellée sur ces cinq titres (et une
version radio). C'est assez réussi.
En concert le 6
janvier à Paris (Supersonic)
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