Est-il vraiment nécessaire de présenter Norah Jones, chanteuse qui a connu un incroyable succès depuis maintenant cinq ans et qui est, en partie, responsable de cette nouvelle mode du Jazz vocal ?
En tournée mondiale, la jolie Norah fait escale pour trois soirées dans la sublime et prestigieuse enceinte de l’Olympia. La scène est ce soir tapissée d’un velours rouge des plus saillants. Dans le fond de la scène se trouve une petite estrade, également tapissée, sur laquelle est installée la batterie et la contrebasse ainsi qu’un clavier d’appoint. Au plafond sont accrochées plusieurs étoiles réfléchissant la lumière. Ils sont quatre « on stage » guitare, basse, batterie, Norah et un autre musicien additionnel qui jouera quelques chansons. Le concert commence avec une inhabituelle version de « come away with me » que Norah débute seule à la guitare électrique. Après deux couplets, son « handsome band » rentre dans la danse. Dès le deuxième titre, elle retrouve une place plus conventionnelle derrière le piano. Le climax du soir est atteint lorsqu’elle s’installe derrière un sublime fender rhodes vintage, ah ce « Thinking about you »… Autre moment, autre son, belle version de « sinkin’ soon » ; torch-song bastringue, déglinguée entre Tom Waits et Tim Burton. Après les claviers, Norah passera à la guitare acoustique, un instrument que jusqu’ici elle utilise peu, et jouera quelques chansons seules ou accompagnée de la basse, on pense en particulier à Rickie Lee Jones. M Ward, qui a assuré la première partie, viendra rejoindre ses petits camarades sur le terrain de jeu et ils se livreront une version endiablée de « Creepin’in ». On dirait que ça s’excite un peu au moment où le concert s’achève.
Norah a fait montre d’un goût très sur, reprises de Willie Nelson, de Tom Waits. Le concert s’est dégusté comme on mange une friandise douce et sucrée. C’est agréable mais dans le fond, ce n’est pas vraiment nourrissant…
En tournée mondiale, la jolie Norah fait escale pour trois soirées dans la sublime et prestigieuse enceinte de l’Olympia. La scène est ce soir tapissée d’un velours rouge des plus saillants. Dans le fond de la scène se trouve une petite estrade, également tapissée, sur laquelle est installée la batterie et la contrebasse ainsi qu’un clavier d’appoint. Au plafond sont accrochées plusieurs étoiles réfléchissant la lumière. Ils sont quatre « on stage » guitare, basse, batterie, Norah et un autre musicien additionnel qui jouera quelques chansons. Le concert commence avec une inhabituelle version de « come away with me » que Norah débute seule à la guitare électrique. Après deux couplets, son « handsome band » rentre dans la danse. Dès le deuxième titre, elle retrouve une place plus conventionnelle derrière le piano. Le climax du soir est atteint lorsqu’elle s’installe derrière un sublime fender rhodes vintage, ah ce « Thinking about you »… Autre moment, autre son, belle version de « sinkin’ soon » ; torch-song bastringue, déglinguée entre Tom Waits et Tim Burton. Après les claviers, Norah passera à la guitare acoustique, un instrument que jusqu’ici elle utilise peu, et jouera quelques chansons seules ou accompagnée de la basse, on pense en particulier à Rickie Lee Jones. M Ward, qui a assuré la première partie, viendra rejoindre ses petits camarades sur le terrain de jeu et ils se livreront une version endiablée de « Creepin’in ». On dirait que ça s’excite un peu au moment où le concert s’achève.
Norah a fait montre d’un goût très sur, reprises de Willie Nelson, de Tom Waits. Le concert s’est dégusté comme on mange une friandise douce et sucrée. C’est agréable mais dans le fond, ce n’est pas vraiment nourrissant…
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