Cette semaine, Nicole Willis et son groupe finlandais, The Soul Investigators (cf. mon message du 14 janvier), sont venus nous rendre visite au bus palladium.
Situé à Pigalle, dans la rue fontaine, juste en face de l’Eros, un bar à putes, le Bus Palladium est un endroit mythique de la scène Parisienne et ce depuis les yé-yé des années 60. Les Who ont joués là-bas. Led Zeppelin aussi. J’étais super content d’y aller. Eh bien mes amis, laissez-moi vous dire, le mythe a pris un coup dans l’aile. L’endroit n’est pas terrible, le bar est hors de prix. Une bière et un coca, 12 euros ! Le pire c’est que dans cette ville il est chic de trouver ça normal. Je ne veux pas paraître cheap, mais mon argent, je le gagne et personne ne me le donne. Pire encore, la scène est minuscule, les 8 musiciens des Soul Investigators ne tiennent même pas dessus, je n’ai pas aperçu le guitariste de la soirée, caché qu’il était dans le fond. La sono est foireuse. C’est une sono de boîte de nuit, faite pour passer des disques, pas pour la musique live. D’ailleurs tout le problème est là, le Bus Palladium est avant tout une boîte de nuit, pas une salle de concert, pas même un club. Le dance floor est trop petit et peine à contenir la foule et dans le même temps, l’espace lounge, sur notre gauche, reste vide. Forcément personne n’a envie d’aller se reposer mais de profiter du groupe.
Groupe qui malgré ces conditions pas évidentes a assuré grave, l’aiguille du groove à fond dans le rouge. Les sept musiciens finlandais des Soul Investigators (basse, batterie, guitare, orgue hammond vintage, trombone, trompette et saxophone) ont débuté seuls le set avec trois morceaux instrumentaux. Puis la belle Nicole vêtue d’une robe bleue et arrivée sur scène sous les cris de la foule et a débuté son tour de chant avec « Feelin’free ». Chaque musicien prend son solo pour autant de démonstrations de virtuosité. Nicole groove tranquille, danse dans son coin, elle aime ce qu’elle fait. Un concentré d’énergie positive (« Keep reachin’up »). La pauvre a du mal à chanter, peine à se faire entendre. Réclame en vain qu’on augmente le volume du micro dans lequel elle est obligée de gueuler pour compenser. Elle finira sur les rotules. A l’image de son groupe, elle méritait mieux que de passer dans un endroit aussi merdique.
Situé à Pigalle, dans la rue fontaine, juste en face de l’Eros, un bar à putes, le Bus Palladium est un endroit mythique de la scène Parisienne et ce depuis les yé-yé des années 60. Les Who ont joués là-bas. Led Zeppelin aussi. J’étais super content d’y aller. Eh bien mes amis, laissez-moi vous dire, le mythe a pris un coup dans l’aile. L’endroit n’est pas terrible, le bar est hors de prix. Une bière et un coca, 12 euros ! Le pire c’est que dans cette ville il est chic de trouver ça normal. Je ne veux pas paraître cheap, mais mon argent, je le gagne et personne ne me le donne. Pire encore, la scène est minuscule, les 8 musiciens des Soul Investigators ne tiennent même pas dessus, je n’ai pas aperçu le guitariste de la soirée, caché qu’il était dans le fond. La sono est foireuse. C’est une sono de boîte de nuit, faite pour passer des disques, pas pour la musique live. D’ailleurs tout le problème est là, le Bus Palladium est avant tout une boîte de nuit, pas une salle de concert, pas même un club. Le dance floor est trop petit et peine à contenir la foule et dans le même temps, l’espace lounge, sur notre gauche, reste vide. Forcément personne n’a envie d’aller se reposer mais de profiter du groupe.
Groupe qui malgré ces conditions pas évidentes a assuré grave, l’aiguille du groove à fond dans le rouge. Les sept musiciens finlandais des Soul Investigators (basse, batterie, guitare, orgue hammond vintage, trombone, trompette et saxophone) ont débuté seuls le set avec trois morceaux instrumentaux. Puis la belle Nicole vêtue d’une robe bleue et arrivée sur scène sous les cris de la foule et a débuté son tour de chant avec « Feelin’free ». Chaque musicien prend son solo pour autant de démonstrations de virtuosité. Nicole groove tranquille, danse dans son coin, elle aime ce qu’elle fait. Un concentré d’énergie positive (« Keep reachin’up »). La pauvre a du mal à chanter, peine à se faire entendre. Réclame en vain qu’on augmente le volume du micro dans lequel elle est obligée de gueuler pour compenser. Elle finira sur les rotules. A l’image de son groupe, elle méritait mieux que de passer dans un endroit aussi merdique.
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