Showcase riquiqui et assez frustrant du pourtant excellent Raphael Saadiq ce jour au Virgin Megastore des Champs-Elysées. On patiente de longues minutes avant que cela commence enfin, avec du retard. Les musiciens, un guitariste acoustique et un clavier, meublent comme ils peuvent, en sourdine, dans une ambiance lounge/easy listenning digne d’un hall d’hôtel. Enfin Raphael se présente accompagné de ses choristes un chanteur et une chanteuse. Saadiq encourage le public à taper dans ses mains, c’est bien, c’est vivant mais ça couvre les instruments, on entend plus grand-chose. Comme le mégastore est blindé, les filles hurlent sur son look de premier de la classe, et tendent les bras en l’air, on ne voit pas grand-chose non plus. Bon. C’est peut-être pas plus mal, vu les conditions, trois chansons un petit quart d’heure et c’est fini. Le supplice aura été de courte durée. Reste que l’on a pu admirer quand même les qualités de showman de Raphael Saadiq, qui danse avec son pied de micro et crée une vraie connexion avec le public, notamment sur « 100 yard dash » il se lance alors dans un concours de « oh-oh » avec l’audience. On assiste presque à un final en apothéose. Ca applaudit à tout rompre, que Raphael Saadiq, grand seigneur, revient même pour un rappel. Quatre chansons, 20 minutes, la visite aura été éclair. En même temps, on ne peut pas lui en vouloir, rappelons qu’il doit assurer ce soir son deuxième concert, complet depuis des lunes, au Bataclan.
mercredi 15 avril 2009
Raphael Saadiq, Virgin Megastore des Champs-Elysées, 15 avril 2009.
Showcase riquiqui et assez frustrant du pourtant excellent Raphael Saadiq ce jour au Virgin Megastore des Champs-Elysées. On patiente de longues minutes avant que cela commence enfin, avec du retard. Les musiciens, un guitariste acoustique et un clavier, meublent comme ils peuvent, en sourdine, dans une ambiance lounge/easy listenning digne d’un hall d’hôtel. Enfin Raphael se présente accompagné de ses choristes un chanteur et une chanteuse. Saadiq encourage le public à taper dans ses mains, c’est bien, c’est vivant mais ça couvre les instruments, on entend plus grand-chose. Comme le mégastore est blindé, les filles hurlent sur son look de premier de la classe, et tendent les bras en l’air, on ne voit pas grand-chose non plus. Bon. C’est peut-être pas plus mal, vu les conditions, trois chansons un petit quart d’heure et c’est fini. Le supplice aura été de courte durée. Reste que l’on a pu admirer quand même les qualités de showman de Raphael Saadiq, qui danse avec son pied de micro et crée une vraie connexion avec le public, notamment sur « 100 yard dash » il se lance alors dans un concours de « oh-oh » avec l’audience. On assiste presque à un final en apothéose. Ca applaudit à tout rompre, que Raphael Saadiq, grand seigneur, revient même pour un rappel. Quatre chansons, 20 minutes, la visite aura été éclair. En même temps, on ne peut pas lui en vouloir, rappelons qu’il doit assurer ce soir son deuxième concert, complet depuis des lunes, au Bataclan.
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