Un pied sur chaque
rive de la Méditerranée, la Franco-Tunisienne Nawel Ben Kraïem
mélange instrumentation acoustique traditionnelle et arrangements
électroniques (« Majnoune »). L'ensemble forme un
étrange ovni pop traversant les frontières aussi sûrement qu'il
mixe les cultures par le biais d'un chant en langues française et
arabe. L'écrin est idoine pour faire briller de mille feux la voix
éraillée, légèrement cassée façon soul de Nawel. Un chant qui
émeut, submerge et que l'on avait déjà entendu aux côtés
d'Orange Blossom. Ces quatre titres sont un avant-goût du premier
album de Nawel que l'on devrait découvrir l'année prochaine.
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