Performance de grande classe, hier soir dans un Grand Rex en fusion, chauffé à blanc, pour le retour de la grande Jill Scott (voir mon post du 3 mai 2008) dans la capitale.
Le big band au grand complet, trois choristes, trois cuivres, claviers, guitare, basse, percussions et batterie est là. Les musiciens prennent place, les uns après les autres, et sont en position, dans l’attente du starter. On a de suite, l’impression que l’on va assister à quelque chose de grand… Les lumières s’éteignent et la musique commence. Après quelques mesures, Jill Scott fait son apparition portée par un tonnerre d’applaudissements, de cris, de hurlements, ce que Jill qualifiera de « Love Fest ». Le public ne restera pas assis très longtemps, pourtant les fauteuils en cuirs du Grand Rex, sont plutôt confortables, trop pour Jill qui ne manquera pas de le faire remarquer, invitant le public à se lever. L’audience se lève alors comme un seul homme, c’est vrai que c’est quand même plus vivant. Viendra ensuite « Let it be », qui ouvre le dernier album « The Real Thing », avec une frappe totalement dingue du batteur et du percussionniste, enchaînée ensuite avec le très bluesy « The Real Thing » (extrait de l’album du même nom) et sa guitare lancinante. Malgré la très bonne ambiance, Jill poussera pourtant une petite gueulante contre les appareils photos, invitant le public à les éteindre pour mieux profiter de l’instant présent. Gueulante qui même si elle restera sympathique (et justifiée) ira jusqu'à faire cesser la musique pendant quelques minutes devant un public médusé. Et oui, Jill Scott est une femme de caractère.
Le show durera plus de deux heures et autant de bons moments, citons la nouvelle version de « The Way », plus axée sur les cuivres que sur les guitares, et celle, raccourcie, de « Golden » amputée de son final jazzy. « Hate on Me » fut énorme, les cuivres monstrueux. On a également eu droit à un medley de soul old school, et en rappel, « What i heard », commencée puis finie a cappella avec pour seule accompagnement le battement de mains du public alors que les membres du groupe élaboraient une sortie de scène très chorégraphiée. Le lien entre Jill Scott et son public est alors très fort, total, et sa voix plus forte et émouvante que jamais…
http://www.jillscott.com/
www.myspace.com/whoisjillscott
http://www.hiddenbeach.com/
Jill Scott : « The Real Thing » (live)
Le big band au grand complet, trois choristes, trois cuivres, claviers, guitare, basse, percussions et batterie est là. Les musiciens prennent place, les uns après les autres, et sont en position, dans l’attente du starter. On a de suite, l’impression que l’on va assister à quelque chose de grand… Les lumières s’éteignent et la musique commence. Après quelques mesures, Jill Scott fait son apparition portée par un tonnerre d’applaudissements, de cris, de hurlements, ce que Jill qualifiera de « Love Fest ». Le public ne restera pas assis très longtemps, pourtant les fauteuils en cuirs du Grand Rex, sont plutôt confortables, trop pour Jill qui ne manquera pas de le faire remarquer, invitant le public à se lever. L’audience se lève alors comme un seul homme, c’est vrai que c’est quand même plus vivant. Viendra ensuite « Let it be », qui ouvre le dernier album « The Real Thing », avec une frappe totalement dingue du batteur et du percussionniste, enchaînée ensuite avec le très bluesy « The Real Thing » (extrait de l’album du même nom) et sa guitare lancinante. Malgré la très bonne ambiance, Jill poussera pourtant une petite gueulante contre les appareils photos, invitant le public à les éteindre pour mieux profiter de l’instant présent. Gueulante qui même si elle restera sympathique (et justifiée) ira jusqu'à faire cesser la musique pendant quelques minutes devant un public médusé. Et oui, Jill Scott est une femme de caractère.
Le show durera plus de deux heures et autant de bons moments, citons la nouvelle version de « The Way », plus axée sur les cuivres que sur les guitares, et celle, raccourcie, de « Golden » amputée de son final jazzy. « Hate on Me » fut énorme, les cuivres monstrueux. On a également eu droit à un medley de soul old school, et en rappel, « What i heard », commencée puis finie a cappella avec pour seule accompagnement le battement de mains du public alors que les membres du groupe élaboraient une sortie de scène très chorégraphiée. Le lien entre Jill Scott et son public est alors très fort, total, et sa voix plus forte et émouvante que jamais…
http://www.jillscott.com/
www.myspace.com/whoisjillscott
http://www.hiddenbeach.com/
Jill Scott : « The Real Thing » (live)
Cela a du être de la balle, ej suis follement jalouse de toi...
RépondreSupprimer;-)
@ Saab : TROP de la balle, j'ai pensé à toi, tu aurais du voir ça !!!
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